Notre histoire

Des spécialistes de pères en fils

Depuis 4 générations, le nom Bourg fait référence à la vente de produits destinés aux particuliers et aux professionnels.
Chez les Bourg, la spécialisation est une histoire de famille. Retour sur une lignée d’experts.

1939 | Le nom BOURG devient une marque

C’est au 68 rue de Carling à L’HÔPITAL (57) que l’histoire commence. Michel BOURG, mineur, décida de diversifier son activité professionnelle et devint grossiste, spécialisé dans la vente d’engrais et de grains.
Afin de traiter directement la matière première dans ses propres locaux, il s’équipa de malaxeurs et de concasseurs.
Après la seconde guerre mondiale, son fils Erwin repris l’activité. Elle fût développée et toujours adaptée à la demande. Ce dernier accrocha alors son prénom à la marque Bourg.

1984 | Jean-Luc, le petit-fils de Michel, reprend l’affaire et s’initie à la motoculture

À l’écoute du marché, Jean-Luc BOURG comprend que la motoculture a de l’avenir car elle réduit la pénibilité des tâches et apporte de la rapidité et de la flexibilité. La modernisation du secteur du bois et de la nature transforme les pratiques d’entretien des espaces verts pour les particuliers et les professionnels.

À cette époque, l’activité historique de la famille BOURG est ébranlée par une large baisse des besoins de graines et d’engrais. Cela n’est donc pas un hasard si les premières tondeuses et tronçonneuses prirent place dans les rayons aux côtés des cannes à pêche destinées aux loisirs.

2003 | L’année de la sècheresse. Un déclic pour Laurent BOURG, 4ème du nom

Chimiste de formation, Laurent a passé un Bac STL au lycée Charles JULLY de SAINT-AVOLD. Rapidement, il a intégré la plate-forme chimique du groupe Total, implantée à CARLING (57).
Initialement, Laurent ne souhaitait pas diriger son parcours professionnel dans l’entreprise familiale. Pourtant, il était tombé dedans étant petit.
À l’adolescence, il passait le plus clair de son temps avec son frère jumeau dans les ateliers pour s’adonner aux joies de la mécanique. Tous deux réalisaient des engins motorisés tels que des kartings.

L’année 2003 est historiquement connue comme une année de sècheresse. Cela n’a pas été sans conséquence pour l’entreprise qui a vu les besoins des clients diminuer.
Peu de vente et peu de réparation. Pour Laurent, ce fut un déclic. Il a alors « tout plaqué » pour prêter mains fortes à son père. Son excellente connaissance technique lui a permis de s’intégrer directement aux process de l’entreprise.
Laurent complète alors sa formation mécanique par un apprentissage commercial en validant un BTS Force de vente. Cette double compétence lui a permis de redéfinir les nouveaux axes de développement de l’entreprise.